Réalisation : Jonah Loop
Scénario : Tony Giglio
Mettant en vedette : Samuel L. Jackson, Hellan Lutz et James Remar
Un homme déprimant dans un bar du Mexique à la suite de la
mort de sa fiancée (Kellan Lutz, la franchise Twilight) rencontre une femme qui
l’invite à avoir une relation sexuelle avec elle. Alors qu’il commence à jouir
de la situation (joli jeu de mots hein!!), elle l’attaque et le kidnappe. Il se
réveille alors dans un endroit inconnu, où il devra combattre des hommes dans
des duels à mort afin d’enrichir l’organisateur de ces combats illégaux (Samuel
L. Jackson, la franchise Star Wars).
Voici une critique très facile (et rapide) à faire. Le
scénario est tiré par les cheveux, mais il réussit à maintenir notre intérêt
pour le film, par moments, tout en parvenant à insérer de la nudité de façon
intelligente et agréable à voir, d’un point de vue masculin et un peu féminin
aussi, même si par-moments cet aspect finit par nous tanner.
Les acteurs
principaux sont bons : Lutz est un douchebag (dans le sens physique du terme)
adéquat et Jackson est sublime même s’il se la joue un peu trop à la Heath
Ledger dans The Dark Knight. Par-contre le reste du casting est exécrable, en
excluant le caméo sympa de Daniel Dae Kim (la série Lost).
Le réalisateur, étant à son tout premier film dans ce poste,
abuse trop sur les plans de caméra douteux et sur le sang, tant liquide ou en
CGI. Parlant de CGI, celle du film est relativement mauvaise, malgré que ce
soit en quelque sorte voulu. Voilà, je l’avais dit, une critique facile (et
rapide) à faire…
Verdict : Un film regardable tant que l’on a l’esprit
ouvert ou que l’on aime Samuel L. Jackson.
Note : 1.5 / 5
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