Réalisation : Michael Caton-Jones
Scénario : Kenneth Ross
Mettant en vedette : Bruce Willis, Richard Gere, Sidney Poitier et J.K. Simmons
Hé Clint, es-ce qui existe un film où Bruce Willis tue des
québécois et embrasse des hommes? Oui??? Wow… Mon rêve devient réalité
avec : « The Jackal ».
Le chacal, un tueur à gages dont personne ne connait
l’identité (Bruce Willis, la franchise Die Hard), est engagé pour tuer une
personnalité publique américaine. Pour tenter de l’arrêter, deux agents du FBI
(Sidney Poitier, Lilies in the Field et J. K. Simmons, la franchise Spiderman)
et une du KGB (Diane Venora de la série TV Chicago Hope) devront faire
confiance à un ancien tireur d’élite pour l’Armée Républicaine Irlandaise
(Richard Gere, Runaway Bride).
Il y a de ses films bien qu’ils sont bons, il manque un
petit quelque chose, un « je ne sais quoi » et c’est le cas de ce
film. Les acteurs sont efficaces, spécialement Bruce Willis avec ses multiples
identités. La réalisation est bien faite malgré quelques scènes très douteuses
comme toutes celles avec Jack Black (King Kong). Sa mort est horrible à
regarder et ce n’est pas à cause de la mort en elle-même mais elle semble
tellement fausse que l’on se croirait dans un mauvais film des années 70.
Le scénario est correct, n’ayant pas d’incohérences
majeures, ni de dialogues très clichés. De plus, il réussit à maintenir un
climat d’urgence et de tension pendant les deux heures du long-métrage, climat
qui est accentué par la réalisation, mais il manque un truc pour le rendre bon.
La musique aussi est sympa, même si elle ressemble à toutes les musiques de ce
genre de cinéma. En somme, nous pourrions dire que ce long-métrage est comme un
Big Mac de McDonald. Comestible, bon même, mais très moyen en comparaison des
hamburgers de nos mamans…
Verdict : Un film qui vous fait passer un bon moment,
sans plus…
Note : 2.5 / 5
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