Scénario : Todd Farmer et Zane Smith
Mettant en vedette : Kerr Smith, Jamie King, Jensen Ackles et Tom Atkins
Ah... La Saint-Valentin : Fête de l’amour, du sexe, de
la jouissance humaine et du meurtre à coup de pioche...
Dix ans après qu’un tueur se réveille d’un coma profond et
attaque une fête d’étudiants dans une mine à coups de pioche, les quatre
survivants doivent faire face à un retour possible du tueur que tout le monde
croyait mort...
Enfin un film d’horreur avec une arme principale moins conventionnelle,
que dans la majorité des cas, une pioche de mineur. Car, même si c’est un
remake, rares ont été les cas de slashers, où le tueur tue avec une pioche...
Malgré une certaine « originalité », le film reste un long-métrage
difficile à critiquer.
Les scènes de meurtres sont plutôt agréables à regarder,
même si le concept du « First person shooter » version pioche / pelle
est une très mauvaise idée, il y a quelques scènes drôles et nous avons même le
droit à une des plus longues et une des moins forcées (Même si elle frise un
niveau d’incohérence magistral.) scènes de nu féminin frontal que le cinéma d’horreur
ait connu, sans tomber dans l’érotique.
Par-contre, le scénario se révèle être une sorte de copie de
la saga Scream (Patrick Lussier étant par le pur des hasards le monteur
des trois premiers Scream...), usant de la façon la plus maladroite possible de
tous les clichés possibles, avec des personnages sous ou aucunement développés,
des incohérences en quantité industrielle et des effets spéciaux qui, en
partie, commence à mal vieillir. Dire que le long-métrage n’est vieux que de
trois ans...
Verdict : Un bon film, qui devient mauvais dès que l’on
commence à réfléchir...
Note : 5 / 10
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